Meurtrier de 15 mois : le stress l'empêche de parler

Un jeune homme, reconnu coupable de meurtre, a été condamné à 15 mois de détention après avoir choisi de ne pas témoigner lors du procès de son complice. Son attitude a été justifiée par des « trous de mémoire », qu'il a mis en avant pour expliquer son silence.

La défense a présenté un argument centré sur le choc post-traumatique que le jeune accusé aurait subi, ainsi que sur le « stress intense » engendré par son expérience dans une prison pour adultes. Ces éléments ont été mis en avant pour atténuer la responsabilité du jeune homme, soulignant les conséquences psychologiques de son incarcération.

Ce cas soulève des questions sur la manière dont le système judiciaire gère les jeunes délinquants et les effets durables que la détention peut avoir sur leur santé mentale. La défense a ainsi tenté de plaider en faveur d'une compréhension plus nuancée des circonstances entourant son comportement, tout en cherchant à expliquer son refus de participer au procès de son complice.